Car, l’esprit vagabonde, s’emplit de « pensées » quand il n’est pas capté par un Acte (un dialogue, une tâche précise à accomplir, une activité physique particulière, etc.). Car l’Acte bloque nos esprits, les enserre, et les fixe par les préoccupations qu’il impose. D’où nos papillons : ces pensées surgissant dans les interstices d’une conscience affaiblie (au réveil, lors d’actions routinières, les instants précédents le sommeil).