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Mais comment pallier à cette fuite en avant dont on a plus ou moins conscience ? On dira : par un apprentissage de la patience et une insertion lente de coupures dans les flux du quotidien.
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Car, l’esprit vagabonde, s’emplit de « pensées » quand il n’est pas capté par un Acte (un dialogue, une tâche précise à accomplir, une activité physique particulière, etc.). Car l’Acte bloque nos esprits, les enserre, et les fixe par les préoccupations qu’il impose. D’où nos papillons : ces pensées surgissant dans les interstices d’une conscience affaiblie (au réveil, lors d’actions routinières, les instants précédents le sommeil).
Du coup, on écartera cette vision (abyssale) afin de laisser surgir un nouveau questionnement. Existe-t-il (ou non) des positions existentielles, propices à la paix intérieure et compatibles avec la frénésie contemporaine ? De préférence, faciles à mettre en pratique.
Une amorce, en quelque sorte. Quelques exercices aptes à nous délier ?
Touchez, cliquez ! Perdez vous dans le labyrinthe et inter-agissez avec Julien et ses textes !
