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Be Boz Be Art - Page 12

  • Voyage au coeur du Tibet en Chine et dans le monde

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    Le Ministère des affaires étrangères chinois a traduit le texte "Voyage au coeur du Tibet" en chinois et en anglais....

    Peut-être qu'une version tibétaine verra le jour...

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  • La Forêt des âmes à Djibouti

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    C'est l'histoire d'une rencontre.

    Lors du débat sur "l'égalité" mené à Bombay en août 2013, Albane Buriel Pasquiau a échangé sur son association "L'Atelier des Rêves" qu'elle a crée à Rennes (la ville dont elle est originaire. Ce projet "Dessinons nos rêves", elle le transporte à travers le monde, les lieux, là où le vent la porte. 

    Nous avons longuement discuter du fait qu'elle demande aux enfants de dessiner leurs rêves. De créer, d'exprimer, de développer leur imaginaire. Tout le monde n'a pas accès à cet imaginaire. 

    Depuis ce moment de rencontre, en pleine mousson, nous avons échangé. Et l'art est toujours au coeur de nos conversations.

    Quelle belle histoire de la retrouver là-bas à Djibouti solidaire de la Forêt des âmes et des actions que Spirit of Boz mène à travers le monde. 

    Aujourd'hui, elle amène ce projet au coeur de l'Université de Djibouti, au sein du DUT Carrières sociales "publics et problématiques spécifiques".

    La rencontre aura lieu ce dimanche ! A suivre...

     

    Pour découvrir la Forêt des âmes, cliquez-ici !

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  • Julien Friedler - Métaphysique de l'errance par Sonia Bressler

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    Ni le temps, ni l’espace tels que nous les connaissons ne suffisent à saisir la forme, la matière de la pensée et de la création de Julien Friedler.
    C’est en ce sens, qu’il faut comprendre la métaphysique de l’errance. Elle est une promenade (proche et lointaine), une joie autant qu’un doute, un trouble et une effervescence. Elle se joue de nos habitudes, de nos observations. Elle se mêle à des questions existentielles et dessine des perspectives nouvelles. Interroger les formes d’art de Julien Friedler, c’est ouvrir les portes d’une construction sociale différente. Il nous faut laisser de côté la ligne droite. Elle existe quelque part, elle sous-tend l’action, le cercle, le carré, la Parole des Anges, la créativité. L’essence même de Julien Friedler c’est l’expérimentation et ses rebonds. L’écoute, le murmure de la pensée, les joies, les doutes, la peinture autant que la poussière sont des éléments de création. Le temps devient un prisme hors de lui-même, l’espace se tord, se dissout, renaît, s’expérimente sous différents angles que des personnages empruntent.
    Il faut, avec lui, accepter de poser l’Art (au sens de créativité) au cœur de la vie, de la construction sociale, économique… C’est écouter la mesure du mouvement du monde, c’est définir une alternative.

    Cliquez ici pour vous procurer le livre !

  • Ce week-end à Narbonne...

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    Visuel Salon du Livre et de la Jeunesse.jpgBeaucoup de choses à l'issue de ce week-end. 

    > Vendredi 16 mai

    Départ à midi le vendredi pour arriver à Narbonne à 20h au lieu de 17h à cause d'un problème sur la voie. Mais j'ai tenu bon et ai rencontrer des auteurs dans le train et notamment Daniel Maximin (poète et grand spécialiste d'Aimé Césaire qui a publié l'ensemble de ses oeuvres). 

    Le soir dîner avec les participants, des écrivains, des chercheurs, des éditeurs, des dessinateurs de BD, les organisateurs. Une multitude de rencontres et de discussion. 

    Là j'ai rencontré :

    • Jean-Pierre Vallat (archéologue, professeur émérite à Paris VII) spécialiste du Togo, il m'a offert son ouvrage et a acheté celui sur le Tibet, il a également rempli le questionnaire. 
    • Loïc Artiagua (historien, spécialiste des contes populaires et notamment de Fantomas), il a répondu au questionnaire, je crois en se faisant passé pour Jean-François Copé.
    • La responsable de l'école des Beaux Arts de Narbonne : Anne Bousquet. Elle a le projet Forêt des âmes entre les mains, nous en avons rediscuté tout au long du salon pour faire quelque chose en fonction des âges. Nous allons nous revoir, je vais prendre rendez-vous. 
    • Mathilde Larrère (Historienne, spécialiste des Révolutions), militante, et professeur d'université, nous étions voisine de stand, nous avons discuté. Elle a rempli le questionnaire. Nous allons nous revoir.

    > Samedi 17 mai : 

    début de la journée à 7h du matin. Nous étions logés hors de la ville. Donc tout le monde debout tôt et direction en bus au centre ville. Pour la première journée "livres & dédicaces" 

    Là j'ai rencontré :

    • Sandra Morruci directrice de la librairie Cultura à Narbonne. Nous avions déjà longuement parlé au téléphone. 
    • Maud la directrice des régions de cette nouvelle chaîne "Cultura", elle m'a proposé de venir à Aubagne pour une rencontre. Nous sommes également en cours de discussion autour de la Forêt des âmes et la Fondation Cultura. Ancienne éditrice chez Flammarion, nous avons eu de longues conversations sur le monde de l'édition et ses failles. 
    • Catherine Kintzler est une philosophe française, spécialiste de l'esthétique et de la laïcité. Agrégée de philosophie, docteur d'État en philosophie, elle est professeur émérite à l'université Lille III. Elle également présidente de la Société de Philosophie Française.  Elle a rempli le questionnaire et a accepté de faire suivre le projet.

    Evidemment il y a plein de rencontres, mais j'essaye de vous résumer les plus denses. 

    Le soir après les signatures, les débats, nous avons assisté au spectacle  "Oubapo Show", ou comment faire de la BD sous contrainte un accès privilégié à la création.  

    « L’Ouvroir de bande dessinée potentielle (OuBaPo) a été fondé en 1992.  Le salon du livre et de la jeunesse du Grand Narbonne vous propose de découvrir  un vrai show d’expérimentations sous contrainte en compagnie des  oubapiens François Ayroles, Alex Baladi, Andréas Kündig, Etienne Lécroart, Lewis Trondheim, avec la présence exceptionnelle du représentant américain de l’OuBaPo, Matt Madden. En travaillant dans le respect d’une règle, d’une contrainte, d’une formule décidée a priori, les oubapiens se donnent des points de départ paradoxaux, se lancent de véritables défis formels, s’ingénient à construire le labyrinthe dont ils auront à sortir. Nécessairement, la bande dessinée qui en résulte paraît souvent étrange, forcée, biscornue ; on la range plus facilement dans la catégorie des « exercices de style », on la taxe parfois de curiosité. Nombre de contributions rassemblées dans les Oupus seraient difficiles à prolonger au-delà d’une ou de quelques pages mais  constituent néanmoins de véritables  performances. Conçu à la Cité (Angoulême) il y a un an, l'Oubapo Show voyage : après Les Rencontres de Bastia, la BnF et l'AG de l'Association à Paris, c'est au tour du Salon du Livre et de la Jeunesse du Grand Narbonne de reprendre ce spectacle jubilatoire. »

    Un moment très drôle. 

    > Dimanche 18 mai

    Idem le matin à 7h tout le monde sur le pont. Et début du salon à 9h. 

    Des signatures et des discussions qui j'espère aboutiront sur des suites. Notamment avec :

    • Sylvain Panis  (directeur de la médiathèque du Grand Narbonne) qui travaille de concert avec l'école des beaux Arts.
    • Jean-Pierre Grotti un auteur régional très sympa, ancien instituteur auquel j'ai donné le questionnaire.
    • Le directeur de la culture du Grand Narbonne ancien directeur à Angoulême (qui en fait em connaissait de l'époque de Res Publica).

     

    > 18h train et retour à Paris à 23h.

    Vivement la suite...

    Pour un retour en images, rendez-vous sur le site Spirit of Boz en cliquant ici !

     

     

     

     

     

     

     

     

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