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Spirit of Boz - Page 118

  • Rechercher un parrain ou un mécène

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    Définir un projet

    Cette première phase doit comprendre les points suivants :
    – une présentation simple et concise du projet et de son contexte ;
    – son bien-fondé, son originalité ;
    – une évaluation quantitative et qualitative du public à toucher ;
    – le rayonnement géographique du projet ;
    – une stratégie de communication (interne et externe) ;
    – la nature des contreparties offertes à l’entreprise ;
    – une présentation du budget (dépenses et recettes) ;
    – les coordonnées des responsables du projet.

     

    Sélectionner les futurs parrains ou mécènes

    Il est important de bien connaître les entreprises pour mieux les sélectionner. Les entreprises mécènes ont déjà défini une stratégie dans laquelle le projet s'insère ou non. Ces entreprises figurent dans des annuaires ; elles sont faciles à connaître, ce qui entraîne un inconvénient : elles sont très sollicitées et il est donc indispensable de bien argumenter sa demande. Il faut bien entendu rechercher les entreprises dont la stratégie de mécénat et l'image générale correspondent au projet. Si l'on souhaite travailler avec des entreprises non mécènes, il est fondamental de connaître leur stratégie de communication globale. Bien sûr, l’entreprise elle-même est la première source d’information, mais des renseignements peuvent également être obtenus dans la presse et, surtout, auprès des chambres de commerce et d’industrie ou des unions patronales locales. Il est possible de démarcher une PME-PMI sur la base d’un projet qui correspond à la politique de production de cette entreprise : cas des plasticiens, stylistes, bijoutiers mettant en œuvre des opérations de partenariat avec des entreprises industrielles sur la base des techniques, moyens de production et matériaux utilisés dans l’entreprise.

    Dans tous les cas, il faut être en mesure de présenter un projet clair, précis, et qui répond à un besoin potentiel de l’entreprise (attente d’un retour sur image, action de cohésion sociale au sein de l’entreprise).

    Présenter le projet

    Envoyer un dossier court et clair à l'entreprise, accompagné d'une présentation succincte du projet. Présenter les contreparties au futur mécène. Certaines sont aujourd'hui considérées comme classiques et se retrouvent dans une majorité de projets : présence du nom ou du logo de l'entreprise sur les documents imprimés ; présentation de l'entreprise mécène dans le dossier et à l'occasion de la conférence de presse ; mise à disposition d'un quota d'entrées gratuites, notamment à destination du personnel ; possibilité pour l'entreprise d'organiser un événement de relations publiques (cocktail, soirée privée, etc.).

    Contacter les mécènes

    Qui ?

    Au sein de l'entreprise, trois cas peuvent se présenter pour la gestion des dossiers de mécénat :
    – gestion au sein de l'entreprise, par la direction de la communication, le directeur général adjoint dans les PME ou bien le PDG lui-même, lorsqu'il n'existe pas de direction de communication ;
    – gestion par une fondation ou une association, plus ou moins indépendante de l'entreprise.
    – gestion par une agence à laquelle l'entreprise fait appel.

    Quand ?

    Un conseil : agir un an avant la date de réalisation de votre projet.

    Concrétiser le partenariat

    Signer un contrat

    Le contrat n'est nullement obligatoire et il n'existe pas de contrat-type.
    En revanche, certaines clauses sont communes à tous les contrats : durée de validité du contrat, délai de versement des fonds ou de livraison du matériel, régime fiscal s'appliquant à ces fonds, exclusivité ou non du mécénat, clause de résiliation.
    D'autres clauses peuvent bien sûr être ajoutées, en fonction des souhaits du porteur de projet et de ceux du mécène !
    Informer régulièrement l'entreprise de l'état d'avancement du projet et organiser à l'avance le travail commun (listes d'invités, dossiers et conférences de presse).


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  • Nous allons refaire le site Internet

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    Pour bien faire un site internet, il faut en penser l'architecture. La structure interne, le squelette. Donc nous sommes entrain de le repenser de façon pratique, ludique, intuitive... 

    Voici quelques images de l'ébauche. Bien sûr, très vite, nous vous donnerons la strcuture même !

     

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  • Projet Tibet

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    Screen shot 2011-06-01 at 6.50.04 PM.pngDécouvrez ici le projet "Tibet" adressé ce jour, en complément d'information sur la "Forêt des âmes", au conseiller culturel Chinois en France et à la Présidente des relations Franco-Chinoises. 

     

    Le but : nous permettre d'aller au Tibet, de recueillir des questionnaires, de réaliser des interviews de personnalités et d'artistes. Si ça marche, ils pourraient nous ouvrir les portes dans toute la Chine. À suivre donc.

    Projet_TIBET.pdf

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  • Give up Bruxelles-Tovegan

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    Ceci est la nouvelle version de la vidéo de présentation du projet give up au Togo. Les scènes qui ont posé problème à notre précedente réunion ont été retirées.  merci de poster en commentaires des suggestions ou des avis concernant ce montage ou simplement le valider si vous le trouvez adéquat. Merci. E.

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  • Le Projet Littéraire "Double vue" Julien Friedler / Norbert Hillaire

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    Julien Friedler/Norbert Hillaire

     

    DOUBLE VUE

     

    Ce livre se veut d’une espèce encore trop rare, le premier sans doute d’une collection à venir aux éditions Somogy : il refuse l’opposition du dire et du faire, de l’action et de la réflexion, du cerveau et de la main – bref de la théorie et de la pratique, du philosophe et de l’artiste.

    En effet, face à a complexité de l’univers de Julien Freider, sa richesse, la diversité de ses matériaux, de ses formes, de ses intentions , de ses engagements et de ses enjeux - à la frontière du social, de l’esthétique, et des sciences du rêve, on se dit qu’il est peut-être moins intéressant de le commenter, de l’analyser depuis un point de vue surplombant – celui du critique d’art, du philosophe, de l’esthéticien - que d’en partager les enjeux, et de le suivre à travers le dédale des questions qui, contrairement aux apparences, hantent notre temps, comme elles hantent la mémoire de l’artiste – l’amour, la mort, le langage, la poésie, la métaphysique, l’enfance.

    Cette posture, est au demeurant d’autant plus intéressante à occuper aujourd’hui que nombre d’œuvres contemporaines, qui sont le fait d’artistes-chercheurs parfaitement informés des questions de la théorie de l’art, ont, en quelque sorte « internalisé », dans le langage qui est le leur, les postures esthétiques, les sciences, les convictions politiques qui soutiennent leur activité artistique. Ce ne sont pas simplement des formes/ matières qui appelleraient ensuite une réflexion distanciée, en surplomb, ce sont des formes qui pensent, ou des pensées qui forment.

    Tel est le cas de Julien Friedler, dont l’expérience de théoricien de la psychanalyse se vérifie dans la construction comme feuilletée de son art, un peu à l’image de l’inconscient décrit par Freud puis Lacan, et qui lui permet de créer un monde lui même « structuré comme un langage »1, un alphabet de signes disposés et déposés selon des agencements savants, agencé en différentes strates et formant un réseau complexe de correspondances qui vont du Livre au Boz, de Jack Balance aux bébés et éternels joujoux de l’enfance universelle, de la pulsion graphique à l’exégèse du texte sacré revisitée, des totems aux tabous, de la peinture à l’installation et au réseau.

    S’il ne s’agit pas de commenter cette œuvre, il ne s’agit pas non plus de la prendre comme une illustration d’une thèse (celle, par exemple, de la propension des artistes contemporains à diversifier leur langage, leur technique et leurs matériaux).

    Ni commentaire, ni illustration :

    Il s’agit, pour le théoricien (spécialisé entre autres dans les relations entre création artistique et créativité entrepreneuriale) que je suis (mais qui est aussi un artiste), de construire un objet inédit à partir du travail de l’artiste qu’est Julien Friedler (mais qui est aussi un théoricien) : un livre de correspondances et de résonances fondé sur l’activité de recherche et de création de l’un et de l’autre, sur les interactions entre l’une

    1 Pour Jacques Lacan, on s’en souvient, « l’inconscient est structuré comme un langage ».

    et l’autre démarche, comme une machine de pensée dont le moteur ne fonctionnerait que dans l’échange et les commutations secrètes entre la culture de l’image et celle du livre, entre les arts de la vue et ceux de la voix, dans ces passages secrets où se jouent et se construisent les opérations de l’art et de la pensée - entre pratique et théorie, entre action et contemplation, entre recherche et création.

    Ce faisant, ce livre entend porter un éclairage indirect sur la réalité de notre temps et contribuer discrètement au renouvellement de ses cadres de pensée. Un réalité qui nécessité plus que jamais de réconcilier les puissances du calcul et de l’économie mondialisée d’un côté, et la force indomptée des symboles de l’autre – de faire fonctionner ensemble, et au risque du malentendu, le conteur et le computer.

    Norbert Hillaire

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  • Epi Communication à Monaco

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    Screen shot 2011-05-30 at 6.20.10 PM.pngStella a obtenu l'accord de "Epi Communication" à Monaco pour une aide à la publication d'un livre sur l'oeuvre de Julien Friedler écrit par Norbert Hillaire.

     

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