Une performance au coeur des Innocents, de Julien Friedler en Jack Balance...
Et si le Livre du Boz, vous parlait en direct ?
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Une performance au coeur des Innocents, de Julien Friedler en Jack Balance...
Et si le Livre du Boz, vous parlait en direct ?
"Pour la première fois au Brésil, l’artiste belge Julien Friedler présente l’exposition "The Spirit of Boz" , du 22 octobre au 22 novembre 2009, au Mube (Musée brésilien de la sculpture). Cette exposition offre l’opportunité de découvrir les multiples facettes de son oeuvre. Friedler a déjà exposé son travail dans de nombreux pays, dont la Belgique, les USA, la Bulgarie et l’Italie. « Spirit of Boz » est également présent dans différents pays, comme l’Allemagne, la France, le Maroc, le Rwanda, le Togo, le Bénin, la Chine, le Mexique, l’Argentine, le Chili, l’Uruguay et Israël.
Le Boz est un univers complexe, pensé comme un « mythe moderne« . Imprégné de concepts philosophiques ou de références à l’histoire de l’art et au Pop Art, l’exposition met en lumière la coexistence de plusieurs mythologies. A la manière du terme « Boz », construction sans véritable signification, tout le projet possède une dimension ludique et humoristique, mais aussi un aspect psychologique. En cherchant à retrouver un idéal humaniste, l’artiste témoigne de son déplaisir face au culte des célébrités, aux sectes, à la pauvreté sociale et à l’isolement des individus dans notre société de consommation.
L’exposition propose une trentaine d’oeuvres, couvrant différents champs artistiques : peintures, sculptures, littérature, vidéos, photographies, installations et performances. Il y a même des oeuvres sur des supports inhabituels, comme des BD, des T-shirts ou cette poupée de 7 mètres de haut, qui sera placée à l’extérieur du musée."
MUBE exhibition (Brazil, 2009) from Spirit of Boz on Vimeo.
Découvrez "La Nef des fous", une des oeuvres de Julien Friedler exposée à la Biennale "las fronteras en Matamoros, Tamaulipas"
Amid an array of colorful paintings and sculptures, an unusual art project is taking place at UNTITLED in Miami Beach. The Truth of the Labyrinth, a project by Julien Friedler, asks fair goers to respond to a series of philosophical musings written by the Belgian artist.
The air travel-adverse Friedler has dispatched two assistants to the fair, video cameras in hand, to record the conversations that arise from his whacky prompts, which touch on such subjects as globalization, the prevalence of money in society, and the existence of a higher power. They will be working at the fair all week.
artnet News was asked to respond to text 2, which posed the question: “could art one day serve as a refuge from the noise and the rage within?” Mmmmm okay.
For Friedler, discussing such lofty ideas is a work of art, albeit one that has no object or physical dimension. The conversation itself is enough. The only memento of the experience that participants come away with is a Polaroid of themselves.
Friedler’s quiet, contemplative work stands in contrast to the conspicuous consumption everywhere in Miami this week. It offers an opportunity to reflect on what really motivates artists. More than money, more than fame, the initial impulse to create is based on the desire to express something the artist believes is true.
Go to artnet News’s Art Basel in Miami page for the latest coverage, including:
“10 Ridiculous But True Rules For Navigating Art Basel in Miami Beach”
“9 Art World Pick-Up Lines Guaranteed (NOT) To Work At Art Basel in Miami Beach”
“15 Art Basel in Miami Beach Parties You’ll Never Get Into”
“Art World Sexy, Powerful, and Intimidating List: People You Need to Network With in Miami”
Du 10 juillet au 10 août 2013
Galerie Gourvennec Ogor - 7 rue Duverger - 13002 Marseille
GIANCARLO CAPORICCI, ALIX DELMAS, ROMAIN DJA DAOUADJI, PASCAL FANCONY, JULIEN FRIEDLER, ROB DE OUDE, BENJAMIN SEBASTIAN, MARION RITZMANN, JÉRÉMIE SETTON, TIMOTHÉE TALARD, VIRGINIE TRASTOUR
2013, belle année pour la ville de Marseille, qui, en plus de porter le titre de Capitale Européenne de la Culture, accueille l’Europride du 10 au 20 juillet 2013.
A cette occasion, la galerie Gourvennec Ogor est heureuse d’organiser une double exposition, en ses lieux ainsi qu’à l’espace HLM au 20 rue Saint Antoine dans le deuxième arrondissement de Marseille.
L'exposition Over the Rainbow réunira 11 artistes contemporains de différentes nationalités. Elle invitera la public à déambuler sur les « chemins du ciel », à s’interroger sur les manières de traiter un nuancier et d’apprécier la façon dont les différences se fondent pour devenir complémentaires et harmonieuses, un voyage dans un monde plein de couleurs et de mélodies « somewhere over the rainbow »…
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La tension dynamique est la base du travail de Giancarlo Caporicci, pour ses peintures, sculptures, comme pour ses reliefs muraux. Dans l’exposition Over The Rainbow, Caporicci nous propose de découvrir une composition entièrement modulable, offrant ainsi au public la possibilité de redécouvrir les couleurs, fragmentées et renaissantes dans leurs réflexions et par transparence. On pense souvent à l’obscurité comme une ombre de la vie, Alix Delmas pense la lumière comme une des ombres de la mort. A travers des gélatines, filtres colorés sur des projecteurs, des phares de voiture ou même le soleil, elle reflète la vie sur et sous les surfaces liquides, solides, minérales ou corporelles. L’Intimité est la source des travaux de Romain Dja Daouadji, la vidéo présentée est d’une extrême sensualité, une capture de ces intenses moments d’hypnose face à des corps se balançant au rythme de sons et de couleurs. A partir de ses réflexions sur la couleur Pascal Fancony, remet en cause la division en sept échantillons du spectre de couleurs, transformant les formes, juxtaposant les matières et les effets chromatiques eux-mêmes, pour en faire des passeurs de l’au-delà du visible. A l’image d’une palette de peintre, les chaussures exposées de Julien Friedler sont une œuvre autobiographique, témoignage d’une création artistique exacerbée qui laisse apparaître d’épaisses strates de peintures multicolores. Des lignes droites sont disposées avec une précision mathématique dans les dessins abstraits de Rob de Oude. Une atmosphère scientifique, géométrique prédomine dans son travail. Les œuvres suggèrent un phénomène naturel, optique qui s’apparente à ce que produit un arc-en-ciel. Marion Ritzmann quant à elle place le concept à la base de ses œuvres. L’installation présentée, inspirée d’une résidence que l’artiste suisse a faite pendant plusieurs mois à Marseille à Astérides, illustre les excès du Mistral dans les rues de la cité Phocéenne, faisant danser dans les airs des sacs plastiques multicolores. Jérémie Setton délie l’image que l’on a du monde, il force le spectateur à pousser sa vision au-delà de la première vue. Dématérialisées au fur et à mesure qu’il les matérialise, ses figurations plongent dans les profondeurs du visible, la couleur est utilisée comme phénomène optique, non pas pour mettre en relief mais plutôt pour aplanir et tromper la simplicité. Face à nous encore, deux toiles de Timothée Talard, monochromes à première vue, et pourtant… Une savante alchimie de l’artiste mêle à l’acrylique des dérivés d’hydrocarbure, de produits chimiques provoquant une irisation semblable à celle d’un arc-en-ciel. Le contraste se forme ainsi entre le fond et la forme, entre l’arc-en-ciel esthétique et poétique et la matière polluante et destructrice. Le noir est d’habitude joyeusement présent dans le travail protéiforme et multiple de Virginie Trastour. Pourtant, c’est une œuvre pleine de couleurs qui est présentée dans l’exposition, onirique et séduisante, charnelle et sensuelle.