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julien friedler - Page 21

  • Julien Friedler Offers Antidote to Conspicuous Consumption at Art Basel in Miami

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    By Sarah Cascone

     

    Amid an array of colorful paintings and sculptures, an unusual art project is taking place at UNTITLED in Miami Beach. The Truth of the Labyrinth, a project by Julien Friedler, asks fair goers to respond to a series of philosophical musings written by the Belgian artist.

    The air travel-adverse Friedler has dispatched two assistants to the fair, video cameras in hand, to record the conversations that arise from his whacky prompts, which touch on such subjects as globalization, the prevalence of money in society, and the existence of a higher power. They will be working at the fair all week.

    artnet News was asked to respond to text 2, which posed the question: “could art one day serve as a refuge from the noise and the rage within?” Mmmmm okay.

    For Friedler, discussing such lofty ideas is a work of art, albeit one that has no object or physical dimension. The conversation itself is enough. The only memento of the experience that participants come away with is a Polaroid of themselves.

    Friedler’s quiet, contemplative work stands in contrast to the conspicuous consumption everywhere in Miami this week. It offers an opportunity to reflect on what really motivates artists. More than money, more than fame, the initial impulse to create is based on the desire to express something the artist believes is true.

     

    Go to artnet News’s Art Basel in Miami page for the latest coverage, including:

    10 Ridiculous But True Rules For Navigating Art Basel in Miami Beach

    9 Art World Pick-Up Lines Guaranteed (NOT) To Work At Art Basel in Miami Beach

    15 Art Basel in Miami Beach Parties You’ll Never Get Into

    Art World Sexy, Powerful, and Intimidating List: People You Need to Network With in Miami

  • Julien Friedler - Métaphysique de l'errance

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    Le livre est désormais disponible à l'achat, découvrez-le en ligne en cliquant ici !

    Téléchagez ici le communiqué de Presse !

  • Julien Friedler - Les Disparus

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    PAR VINCENT DELAURY · L'ŒIL

    Avec « Les Disparus », le Belge Julien Friedler, artiste né en 1950, signe sa première exposition personnelle à la galerie Gourvennec Ogor à Marseille.

    Au beau milieu de l’espace d’expo, une poupée est présentée physiquement, marquée d’une étoile jaune : le traumatisme de la Shoah n’est pas loin. Avec sa nouvelle série de photographies, montrant des traces de peintures disparues et des lieux de désolation, Friedler nous emmène aux confins intimes de son œuvre et nous dévoile son champ de bataille intérieur, qui vient se nourrir de sa mémoire d’homme citoyen et d’artiste.

    Lien permanent Catégories : Presse 0 commentaire
  • Les Disparus à la Galerie Gourvennec Ogor

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    PHOTO | EXPO

    Les Disparus

    01 Sep - 03 Nov 2012
    Vernissage le 01 Sep 2012

    Confrontant le spectateur à une série de photographies prises dans son atelier bruxellois, Julien Friedler nous invite aux confins intimes de sa mémoire d'homme et d'artiste. Pour comprendre le travail de l’artiste, il est nécessaire de se plonger dans certains événements importants de son histoire et de sa vie tels que la Shoah et mai 1968.

    Julien Friedler
    Les Disparus

    Avec «Les disparus», l’artiste belge Julien Friedler signe sa première exposition personnelle à la Galerie Gourvennec Ogor à Marseille. Confrontant le spectateur à une série de photographies prise ce printemps dans son atelier bruxellois, l’artiste nous emmène aux confins intimes de son œuvre, dans le cercle privé de sa mémoire d’homme et d’artiste. En dévoilant les marques d’un processus créatif ardent, irradiant l’espace de matériaux et de pigments, de corps et de signes; l’artiste nous dévoile son champ de bataille intérieur. Un lieu où les forces s’entrechoquent, où les idées et la matière se travaillent à même les murs, où les souvenirs de l’homme et l’activité de l’artiste se confrontent dans un mouvement violent, dont l’espace porte les stigmates. Il est à remarquer qu’aucune peinture réelle n’apparaît sur les photographies. Seules des traces de leur existence sont visibles, tels les vestiges d’une œuvre dont on ne sait si elle est réellement achevée ou non encore terminée. L’artiste non plus n’apparaît pas, il n’est présent que par sa propre absence.

    Ce que les disparus nous donne à voir, c’est la disparition comme phénomène. Disparaître n’est pas mourir. La disparition est le sentiment confus d’une perte sans explications, la sensation d’un effacement incontrôlable de ce qui n’est plus là, mais dont on ressent vigoureusement la présence. Disparaître, c’est sortir du temps. Il est utile de savoir que Julien Friedler est né dans une famille juive en 1950. Il a passé son enfance dans un environnement psychologique et familial bouleversé par l’expérience traumatisante de la Shoah. Il s’est construit dans les séquelles de l’histoire, confronté depuis toujours au poids du vécu, aux cicatrices de la mémoire. On ne s’étonnera pas de trouver dans cette exposition, une référence à ce temps là, symbolisé par une une poupée, marquée d’une étoile jaune, au milieu du visage. Une poupée présentée physiquement dans l’espace d’exposition, que l’on retrouve virtuellement dans les photographies, en train de disparaître.

    Le temps est une notion centrale dans la démarche plastique de Julien Friedler. A l’évidence, celui-ci n’est pas traité comme une suite d’événements linéaires, mais pris en compte comme une masse agissante, un matériaux à part entière qui participe pleinement du processus créatif. Pensons aux plate-formes participatives que l’artiste a mis en place dans les années 2000, et dont les protocoles de créations s’étendent sur des dizaines d’années, au delà de sa propre vie. Un temps qui pourrait aussi se révéler foudroyant; l’espace d’un regard qui trébuche; l’instant où le tableau se perd; car la poupée s’éloigne et l’artiste s’efface, pour devenir: «un disparu parmi les autres».
    Erno Vroonen

    Vernissage
    Samedi 1er septembre 2012

  • Spirit of Boz - le groupe sur Facebook

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    Spirit of Boz, facebook, Julien Friedler

    Nous sommes heureux de vous annoncer la création du Groupe "Spirit of Boz" sur Facebook. 

    Ce groupe nous permet de toucher un large public et de présenter les oeuvres de Julien et tout Spirit of Boz. Ainsi nous pouvons y disoiser les vidéos, les historiques, évoquer les avancements. Pour le moment les textes généraux y sont mis ainsi que les premières images du travail de Julien.

    Il faut en faire la promotion sur Facebook auprès de vos amis. Ainsi nous toucherons de plus en plus de personnes. D'autre part, nous pouvons promouvoir et faire connaître nos événements par ce biais. 

  • Rendez-vous le 27 mai à 10h30

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    Rendez-vous, vendredi 27 mai à 10h30 avec Griet Dehandschutter pour discuter et débattre des projets mécénat. Contactée en 2010, c'est sa première rencontre officielle avec l'équipe Spirit Of Boz et Julien Friedler.